Alain GIRAUD Psychanalyste Avignon

Analyse & Psychothérapie

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      • "Au-delà du principe de palsir" Sigmund Freud

      • " L'enfant dans l'adulte" Sandor Ferenczi

      • "Présentation abrégé de la psychanalyse
        VII Sur la technique psychanalytique"

        Ferenczi 1933

      • "Construction dans l’analyse"
        S. Freud 1937

      • "Le transfert délirant, l'objet et la reconstruction"
        R.Roussillon Puf. 2002 - 2015

      • « Le contre transfert est il un cadre ?»
        Caroline Thompson. Puf. 2015

      • « Génèse et situation des états limites »
        André Green,Puf 1999

      • « Les états limites, quelles limites ? »
        Catherine Chabert. Puf. 1999

      • « Contre-transfert »
        Harold Searles. Folio. 1979

      • « Journal d'un amour perdu »
        Eric Emanuel SCHMITT. Edition Albin Michel. 2019

      • « Quand les parents se séparent »
        Françoise DOLTO. Édt du seuil. 1988

      • "Totem et Tabou"
        Sigmund Freud 1913-Edt.Point 2010

      • "Le moi et le ça"
        Sigmund Freud 1923-Edt.PBP 1981-2010

      • "Inhibition Symptôme et Angoisse"
        Sigmund FREUD-Edt PBP 2014

      • "L’Œdipe originaire "
        Claude LE GUEN–Edition puf 2000

      • "Narcissisme de vie narcissisme de mort"
        chapitre6
        La mère morte (1980)
        André GREEN - Edt de Minuit

      • "Narcissisme de vie narcissisme de mort"
        chapitre5
        Le genre neutre (1973)
        André GREEN- Edt de Minuit

      • "Narcissisme de vie narcissisme de mort"
        chapitre4
        Le narcissisme moral
        (1969)
        André GREEN- Edt de Minuit

      • "Narcissisme de vie narcissisme de mort"
        chapitre3
        l'angoisse et le narcissisme
        (1979)
        André GREEN- Edt de Minuit

      • "Narcissisme de vie narcissisme de mort"
        chapitre2
        Le narcissisme primaire : structure ou état
        (1966 – 1967)
        André GREEN- Edt de Minuit

      • "Narcissisme de vie narcissisme de mort"
        chapitre1
        un,autre,neutre:Valeurs narcissiques du même
        (1976)
        André GREEN- Edt de Minuit

      • "Pour introduire le narcissisme"
        Sigmund FREUD (1914)

      • "Deuil et mélancolie"
        Sigmund FREUD

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        Mélanie KLEIN

      • " La haine, le désir de possession
        et l'agressivité "

        Joan RIVIERE

      • "Agressivité, culpabilité et réparation"
        Donald W. Winnicott

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        d’attachement et ses développements
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      • "Les schèmes d’attachement
        et les conditions y concourant"

        Attachement et perte - John Bowlby

      • "Le comportement d'attachement:
        Focaliser sur une figure"

        Attachement et perte - John Bowlby

      • "Le coportement d'attachement:
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        Attachement et perte - John Bowlby

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        Attachement et perte - John Bowlby

      • "Comportement d'attachement"
        Attachement et perte - John Bowlby

      • "Ce qui découle du fait
        que ce n’est pas la femme qui a tué le père"

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      • "Narcissisme comme double direction"
        L'amour du narcissisme - Lou Andreas Salomé

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        Lou Andreas Salomé

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Ferenczi, Présentation abrégé de la psychanalyse, la technique analytique, 1933



VII. Sur la technique psychanalytique

Comme nous l’avons déjà dit, il est impossible d’apprendre à psychanalyser dans les livres. Mais il est tout aussi impossible de pratiquer une analyse en présence d’un tiers. La sincérité totale, la mise en veilleuse des sentiments de gêne et de honte, exigées par la psychanalyse, seraient considérablement troublées si la cure ne se déroulait pas dans une stricte intimité à deux. D’ailleurs, il serait difficile de trouver des patients qui accepteraient de s’y prêter. Par conséquent, la technique de la psychanalyse ne peut pas faire l’objet d’une démonstration ; il n’y a qu’une façon de l’apprendre — mise à part la méthode autodidactique très insuffisante — c’est la psychanalyse par un analyste qualifié, du médecin, du pédagogue, etc., qui désire utiliser ce procédé, et ce, pendant un temps relativement long. L’Association Psychanalytique Internationale par exemple, dont des groupes locaux existent actuellement un peu partout, n’admet généralement parmi ses membres actifs que des analystes pouvant justifier d’une telle formation.

La formation psychanalytique rappelle donc, à bien des égards, celle en vigueur dans les corporations artisanales. Il semble parfaitement justifié de soumettre à des conditions rigoureuses le droit de toucher à un instrument aussi délicat que le psychisme humain. Ce type de formation offre l’avantage inégalable de faire en sorte que chacun puisse éprouver sur sa propre peau pour ainsi dire la justesse des théories proclamées et l’efficacité de la méthode employée. Les anomalies plus ou moins importantes qu’on rencontre dans le psychisme de tout individu « sain » en fournissent amplement l’occasion. Par là même, la santé psychique du médecin qui termine sa formation psychanalytique sera plus solide qu’auparavant. Cette approche de la normale est indispensable au médecin qui désire exercer la psychanalyse. Cette profession, outre la compétence et des dispositions personnelles dans ce sens, requiert aussi une égalité d’humeur qui n’est pas nécessaire dans les autres spécialités médicales. Le médecin a pour tâche d’évaluer, c’est-à-dire de recevoir avec équanimité, toutes les manifestations affectives du patient, que leur contenu soit indifférent, pénible ou flatteur pour lui. Par ailleurs, il doit éviter l’erreur de s’abandonner à ces débordements émotionnels auxquels certains patients paraissent tellement disposés, ainsi que celle de s’offenser si le malade, invité à communiquer toutes ses pensées, en profite pour mettre impitoyablement le doigt sur les faiblesses réelles ou supposées de son médecin. Mais il ne suffit pas d’un simple entraînement pour parvenir à cet équilibre ; il ne peut résulter que de la connaissance et de la maîtrise des pulsions primitives qui se cachent dans l’inconscient du médecin, autrement dit d’une psychanalyse personnelle de celui-ci.

Par conséquent, ce que je peux vous dire dans ce court résumé de la technique psychanalytique concerne essentiellement les aspects formels de la méthode ; je peux le compléter par l’énumération des principes essentiels qui guident le médecin psychanalyste dans son travail.

Le médecin, après avoir effectué les examens physiques de routine et établi, au moyen d’un examen psychique, l’existence d’une psychonévrose susceptible de réagir favorablement à une psychanalyse, propose à son malade de s’allonger confortablement, tandis que lui-même se place de manière à ne pas gêner ni influencer par son regard le cours des associations du patient. Puis il l’invite à formuler sans hésitation ni critique tout ce qui lui passe par la tête, pendant la séance d’analyse, même les pensées fugitives. Le patient doit donc s’abstenir d’ordonner ses propos, tant sur le plan du contenu que sur celui de la forme, il ne doit absolument pas se soucier de leur cohérence (favoriser par exemple les représentations relatives à la maladie), ni écarter une idée ou une expression parce qu’elle serait désagréable pour lui-même ou pour le médecin, etc. Autrement dit, il doit communiquer tout sentiment, toute sensation, pensée ou mouvement d’humeur, souvenir, tendance, désir, parole ou groupe de paroles sensées ou non, qui lui viendraient à l’esprit, au cours de la séance d’analyse.

Le médecin doit s’abstenir de prendre des notes pendant la séance car son attention serait alors trop partagée ; lui aussi doit plutôt s’efforcer à maintenir constamment une « attention flottante » et s’abandonner à tous les détours qu’emprunte la pensée du patient. Il éprouvera parfois le besoin de demander un supplément d’explications au patient, sur tel ou tel détail du matériel, ou d’attirer son attention sur des corrélations possibles qui lui auraient échappé. Il arrive alors que des souvenirs anciens reçoivent un éclairage entièrement nouveau, autrement dit, que le matériel latent de ses souvenirs devienne conscient. Cette façon inhabituelle d’associer les idées, diamétralement opposée à la tendance orientée qui est de règle dans le dialogue et dans la communication courante, a souvent pour résultat surprenant que des images mnésiques très anciennes, qui depuis des décennies peut-être n’étaient plus venues à l’esprit du patient, resurgissent tout à coup. Cette fonction de l’association libre est particulièrement importante dans l’hystérie, car elle remplit petit à petit le vide mnésique qui se forme généralement autour des groupes de souvenirs pathogènes.

Le médecin analyste ne tardera pas à s’apercevoir que ce mode d’auto-observation et de communication des idées mobilise une très violente résistance chez le malade. En dépit de ses intentions premières et de ses engagements, il viole sans cesse la règle fondamentale de l’association libre, et lorsqu’un long silence nous laisse à penser que quelque chose n’a pas été communiqué, il s’en défend au mépris de toute logique, en affirmant qu’il s’agissait d’une absurdité, d’une idée ridicule, sans importance, d’une pensée tellement honteuse qu’« elle ne pouvait pas vraiment lui appartenir », ou de quelque chose d’offensant ou de blessant, pour le médecin ou pour quelqu’autre personne respectable, etc. Le médecin doit alors inlassablement rappeler à son malade, avec une patience inépuisable, le respect de la règle fondamentale ; et si celui-ci, au bout d’une longue lutte, finit quand même par communiquer l’idée « insignifiante » ou « absurde » qu’il avait tue, ainsi que les idées qui s’y rattachent, il s’avère souvent que l’objection logique ou esthétique servait justement à gêner le progrès de la cure sur un point qui permettait d’éclairer un problème partiel de la névrose. Le médecin psychanalyste doit donc constamment tenir compte du fait que le malade qui, consciemment, veut guérir, agit souvent inconsciemment à l’encontre des efforts thérapeutiques.

Pendant la séance, le médecin reste attentif aux mouvements involontaires du malade, à ses lapsus, ses erreurs éventuels, ses maladresses, ses explosions affectives immotivées, et tente d’en trouver l’explication chaque fois, car il n’ignore pas que des contenus psychiques importants se manifestent souvent par de petits faits de ce genre. Les sensations physiques passagères, les changements d’humeur, ou encore les variations plus ou moins importantes de la santé, de l’état général, retiennent également son attention : sous forme de « symptômes transitoires », ils peuvent révéler l’existence de représentations cachées. Il demande également au malade de se rappeler, si possible, les rêves qu’il fait la nuit, ainsi que ses rêveries diurnes, et d’essayer d’en parler pendant la séance d’analyse. (Par contre, il est déconseillé de l’inviter à prendre des notes par écrit.) Beaucoup de psychanalyses ne sont en fait qu’une suite d’analyses de rêves. Le rêve, nous l’avons dit, tire sa matière des couches les plus profondes de la vie psychique et son étude peut nous rapprocher du foyer de la névrose.

C’est de cette façon apparemment monotone que se déroulent les séances successives ; là, le fil se rompt brusquement pour continuer en un point tout à fait inattendu, et c’est peut-être au bout de plusieurs jours ou de semaines seulement, par un grand détour, qu’une compréhension plus approfondie du problème devient possible. L’important, c’est que le médecin évite d’imposer ses propres solutions. Il doit attendre patiemment que les problèmes se résolvent d'eux-mêmes, à mesure que le matériel mnésique apparaît.

Cependant, ceux qui, sur la base d’une connaissance superficielle de la vieille méthode cathartique selon Breuer et Freud, croient que la méthode psychanalytique est essentiellement un travail intellectuel, le réveil progressif et la réactivation de souvenirs refoulés, se trompent. Même si le malade observe avec la meilleure volonté la règle fondamentale, le travail analytique paisible — à savoir combler les lacunes de la mémoire, expliquer les symptômes transitoires, interpréter les rêves — ne se fait sans heurts que pendant un certain temps. Tôt ou tard, c’est-à-dire dès qu’apparaissent les signes d’un transfert positif ou négatif sur le médecin, nous rencontrons des obstacles plus importants. Il arrive alors que le travail piétine pendant quelques séances ; « rien ne vient à l’esprit » du patient ; si nous l’incitons à nous communiquer quand même toutes ses pensées, il est réduit à énumérer un à un les objets qui l’entourent. Ces phénomènes indiquent que ce n’est pas le réveil des représentations mnésiques mais la répétition actuelle d’une situation ancienne qui permet au malade, en même temps, de montrer et de cacher les vécus importants qui se dissimulent dans son inconscient. Car l’inconscient, comme nous l’avons souvent répété, ne connaît pas ces catégories logiques qui lient l’affect à un objet déterminé, c’est-à-dire à une personne déterminée. D’imperceptibles ressemblances suffisent pour que le médecin se trouve amené à la place d’un personnage important du passé. C’est ainsi que le médecin peut devenir l’objet de l’humble respect, de l’amour éperdu ou de la haine implacable que le patient a éprouvés autrefois pour une personne de son entourage, mais dont la perception échappe à sa conscience précisément du fait de la qualité inconsciente de ces affects.

S’ils constituent une gêne pour le travail analytique, le médecin ne doit pas hésiter à soumettre à une discussion approfondie même ceux des mouvements émotionnels du malade qui le concernent lui-même. Cependant, le malade recourt volontiers à ces « répétitions » du passé pour renforcer sa résistance à l’analyse ; il y a alors danger imminent d’interruption, si le médecin ne reconnaît pas ce dont il s’agit. Car le malade ne se laisse pas facilement convaincre par la théorie du « transfert d’affect » que lui présente le médecin ; il soutient obstinément que son enthousiasme ou son hostilité pour celui-ci se justifient objectivement. Autrement dit, oubliant qu’ils sont des malades venus nous trouver parce qu’ils veulent guérir, ils essayent de déplacer le combat sur un autre terrain et insistent sur l’attrait ou la haine qu’ils éprouvent à notre égard. Même au cours de ces séances difficiles, le médecin ne doit jamais se départir de son calme et de sa patience ; s’il montre suffisamment de persévérance, le malade finira par se lasser de ce mode de résistance et recommencera peu à peu à fournir du matériel interprétable ; ce processus permettra de démontrer la réalité du transfert et de mettre en lumière certains événements importants du passé.

Éviter que des effets de suggestion ne viennent se mêler à la technique analytique doit être un souci constant pour le médecin. Par contre, il n’est pas douteux que le transfert, dont il vient d’être question, et qui dans les cas cités plus haut renforce la résistance, devient un allié pour l’analyste lorsqu’il se présente sous une forme plus atténuée. Le rapport qui se développe entre le médecin et le patient doit être le même que celui qui s’établit entre un bon pédagogue et son élève ; autrement dit, le patient doit être assez bien disposé à l’égard du médecin pour mieux comprendre et accepter ses théories. Mais, de même que le bon pédagogue n’annihile pas l’esprit critique de son élève par le poids de son autorité, le bon psychanalyste s’efforce lui aussi d’amener la disposition affective du patient à un certain optimum : en d’autres termes, il ne faut pas que la suggestion tienne plus de place en psychanalyse que dans l’enseignement d’une discipline biologique, par exemple.

La fin de la cure peut poser un problème au médecin. Pour maintenir le plus longtemps possible une relation devenue agréable, le patient tend à faire en sorte que la cure se prolonge. Nous vaincrons ces tendances, tout d’abord en les dévoilant impitoyablement aux yeux du malade, puis en lui imposant peu à peu — en plus de la règle d’association libre — un certain nombre de « tâches » : rechercher volontairement les situations qui lui sont pénibles, abandonner des mauvaises habitudes auxquelles il prend plaisir. Comme on pouvait le prévoir, ces mesures provoquent une certaine aggravation de la névrose, mais elles permettent de faire surgir un matériel encore caché et d’obtenir des réponses à des questions restées en suspens.

On pourrait donc considérer la cure psychanalytique comme une méthode de rééducation de la personnalité et qui se distingue, en cette qualité, de l’hypnose et de la suggestion qui prétendent à des effets d’une rapidité miraculeuse. Il faut des mois, parfois un an ou même plusieurs, pour modifier radicalement une névrose ou un caractère pathologique bien enraciné. En médecine, les seuls procédés qu’on pourrait comparer sont les procédés orthopédiques, mais ils demandent infiniment moins d’efforts, de patience et de sacrifices — au malade et au médecin — que la psychanalyse ; sans oublier que l’orthopédie porte sur des problèmes mécaniques beaucoup plus simples que ceux que le médecin rencontre dans le traitement des « anomalies psychiques ».

Il existe un autre fait important du point de vue de la pratique médicale, à savoir que la technique analytique classique demande au médecin de consacrer tous les jours une heure entière à chacun de ses patients. Il s’ensuit tout naturellement que le nombre de malades que le médecin peut traiter chaque année par la méthode psychanalytique est très limité. Espérons qu’il y sera porté remède par l’accroissement du nombre des psychanalystes.

Dans quelques villes, à l’étranger, des fondations charitables ont implanté des polycliniques psychanalytiques qui permettent à ceux des couches plus défavorisées de bénéficier de cette méthode thérapeutique. Chez nous aussi, il s’est trouvé un philanthrope désireux de se mettre au service de cette cause, mais l’incompréhension des autorités responsables a fait échouer ses efforts1.

Ferenczi, Présentation abrégé de la psychanalyse, la technique analytique, 1933

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